Eric Gerets | ||
![]() Eric Gerets en 2012. | ||
Biographie | ||
---|---|---|
Nom | Eric Maria Lambertus Gerets[1] | |
Nationalité | ![]() | |
Naissance | (70 ans) Rekem (Belgique) | |
Taille | 1,78 m (5′ 10″) | |
Période pro. | 1972-1992 | |
Poste | Arrière droit puisentraîneur | |
Parcours senior1 | ||
Années | Club | |
1972-1983 | ![]() | 413 (30) |
1983-1984 | ![]() | |
1984-1985 | ![]() | |
1985-1992 | ![]() | 255 (10) |
Total | 703 (41) | |
Sélections en équipe nationale2 | ||
Années | Équipe | |
1974 | ![]() | |
1975-1991 | ![]() | |
Parcours entraîneur | ||
Années | Équipe | Stats |
1992-1994 | ![]() | 20v 19n 32d |
1994-1997 | ![]() | 54v 29n 32d |
1997-1999 | ![]() | 61v 15n 16d |
1999-2002 | ![]() | 91v 24n 29d |
2002-2004 | ![]() | 19v 12n 26d |
2004-2005 | ![]() | 18v |
2005-2007 | ![]() | 49v 22n 20d |
2007-2009 | ![]() | 50v 21n 27d |
2009-2010 | ![]() | 37v |
2010-2012 | ![]() | 12v |
2012-2014 | ![]() | 48v 16n 24d |
2014-2015 | ![]() | 18v |
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve. 2 Matchs officiels. Dernière mise à jour : | ||
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Eric Gerets (prononcé ennéerlandais : [ˈeːrɪk ˈxeːrəts]), né le àRekem enBelgique, est unfootballeurinternational[2]belge devenuentraîneur, qui a joué en tant qu'arrière droit pour leStandard de Liège, l'AC Milan, leMVV Maastricht, lePSV Eindhoven et l'équipe de Belgique.
Eric Gerets fait ses premiers pas sur les terrains du AA Rekem dans son village natal duLimbourg. Il est d'ailleurs surnommé le « Lion de Rekem ». Il est repéré par leStandard de Liège en 1971. Le club vient de remporter lechampionnat à trois reprises (1969, 1970 et 1971). Il y fait ses débuts à l'âge de 17 ans avant de signer professionnel dans ce même club. Il y côtoie notamment plusieurs cadres du club, dontNico Dewalque,Wilfried Van Moer,Léon Semmeling ou encoreChristian Piot. Recruté au départ commeavant-centre, l'entraîneur de l'époque,Vlatko Marković, le mue en back droit, poste qui le révèlera et dictera sa carrière tant nationale qu'internationale par la suite[3]. Toutefois, Gerets ne s'impose pas comme titulaire durant ses premières saisons, puisque le poste d'arrière-droit est occupé par une légende du club :Jacques Beurlet. Ainsi, c'est depuis le banc qu'il voit son club terminer vice-champion en1973 derrière leFC Bruges.
Durant les saisons qui suivent, Eric Gerets s'affirme comme titulaire indiscutable au sein de la défense des Rouches. Après une défaite en finalel'année précédente, il remporte tout d'abord laCoupe de la Ligue Pro en 1975. Il dispute l'entièreté de la double-confrontation en finale face auRSC Anderlecht.
Il remporte laCoupe de Belgique 1981. L'année suivante, il est finaliste de laCoupe d'Europe des vainqueurs de coupe mais s'incline contre leFC Barcelone. Il devient par la suite le capitaine du club. Il remporte également deux titres deChampion de Belgique avec leStandard de Liège en1982 et1983. Il est éluSoulier d'or de Belgique décerné au meilleur joueur de football deBelgique en 1982[4].
Au terme de la saison 1982-1983, Eric Gerets est transféré auMilan AC. Après s'être imposé facilement, il hérite du brassard de capitaine des « Rossoneri » en un rien de temps et semble bien parti pour donner à sa carrière une nouvelle dimension[3]. Mais en 1984, le ciel lui tombe sur la tête et il est impliqué puis condamné dans une affaire de corruption de joueurs remontant à, à l’époque où il porte le brassard de capitaine d’équipe duStandard de Liège[5].
Au cours de la saison 1981-1982, le Standard fait la course en tête, mais n’arrive pas à se débarrasser définitivement de son dauphin et éternel rival, leRSC Anderlecht qui est champion sortant. Il a besoin d’une victoire lors de l’ultime journée de championnat pour remporter le titre. Ce match, Standard-Waterschei, est casé avant la finale de laCoupe d'Europe des vainqueurs de coupe face auFC Barcelone.
Le, le Standard prend le meilleur sur Waterschei et s’adjuge le titre de champion de Belgique. Le scandale éclatera deux ans plus tard grâce à la ténacité d’un juge belge, Guido Bellemans, qui initialement enquête sur les habitudes fiscales des clubs de football. Un « carnet » attire l'attention du magistrat et conduit à des rumeurs d’un arrangement de match. Ses investigations débouchent sur les aveux des corrupteurs qui avaient pour noms,Roger Petit (secrétaire général),Raymond Goethals (entraîneur) et… Eric Gerets (capitaine d’équipe). C’est ce dernier qui a négocié l’arrangement du match avec le capitaine de Waterschei,Roland Janssen… qui est en même temps son voisin. L’accord est conclu sur la base du versement de 420 000 francs belges (de l’époque). Tous les différents intervenants ont toujours nié avoir « arrangé » le match quant à son résultat, mais demandé aux Limbourgeois de ne pas blesser un joueur liégeois quelques jours avant une finale européenne (op cit).
Eric Gerets écope de trois ans de suspension, dont deux en appel. LeMilan AC lui indique la porte de sortie et il doit faire l'impasse sur l'Euro 84. À 30 ans, on l'imagine fini mais c'est sans compter sur sa rage de vaincre. Il prend alors la direction desPays-Bas et duMVV Maastricht qui vient d'être promu enEredivisie[5]. Il n'y reste qu'une saison.
Il signe ensuite auPSV Eindhoven où il donne un second souffle à sa carrière et à qui il fera vivre la meilleure période de son histoire. Gerets est six foisChampion des Pays-Bas en sept saisons et vainqueur de laCoupe des Pays-Bas trois fois consécutivement. Il remporte également laLigue des champions en1988 et devient ainsi le premier Belge à soulever la « Coupe aux grandes oreilles »[6].
Gerets est sélectionné pour la première fois chez lesDiables rouges en 1975 et dispute sa première compétition officielle avec laBelgique lorsqu'il est sélectionné pour l'Euro 1980. Après s'être qualifié en finale en terminant premier de son groupe devant l'Italie, hôte de la compétition, les Belges s'inclinent en finale contre l'Allemagne de l'Ouest.
Gerets dispute sa première Coupe du monde en1982 et il est alors au sommet de son art mais un telescopage avecJean-Marie Pfaff met un terme prématuré à son tournoi[7]. Les Belges, qui passent un tour pour la première fois de leur histoire, sont alors privés de deux pions majeurs lors du second tour et sont éliminés après deux défaites face à l'Union soviétique (0-1) et laPologne (0-3) en ayant, fait rare dans la compétition, usé de leurs troisgardiens.
L'affaire Standard-Waterschei met un point d'arrêt à sa carrière internationale et il doit renoncer à l'Euro 84, tout comme d'autres joueurs impliqués dans le scandale, ce qui n'est pas sans conséquence pour le parcours de l'équipe belge dans ce tournoi.
Sa suspension purgée, il reprend sa place en équipe nationale et délivre la passe décisive àGeorges Grün auKuip en 1985 qui qualifie lesDiables Rouges pour laCoupe du monde au Mexique. Lors de la phase finale, la Belgique se qualifie pour les huitièmes de finale en étant meilleur troisième puis se hisse jusqu'en demi-finale après avoir éliminé successivement l'Union soviétique (4-3 a.p.) puis l'Espagne (1-1 , 4-3 t.a.b.) mais est finalement battue par l'Argentine (2-0) et son légendaire n°10,Diego Maradona, en demi-finale, avant de s'incliner à nouveau face à l'équipe de France (4-2 a.p.) lors de la petite finale. Les Belges terminent donc la compétition à une honorable quatrième place. Gerets est également sélectionné pour laCoupe du monde de 1990, lors de laquelle lesDiables Rouges sont éliminés dès les huitièmes de finale.
De sa carrière internationale, on retient qu'avec ses 86 sélections, il figure parmi les dix joueurs les plus capés de l'histoire de la sélection belge, et qu'il fait partie des rares joueurs belges à avoir atteint la finale de l'Euro (lors de l'Euro 1980) et une demi-finale de Coupe du monde (lors de l'édition de1986). Qui plus est, si l'on ajoute les 12 rencontres disputées par lesDiables Rouges pendant son absence, il est fort possible que ce soit lui qui ait longtemps détenu le record de sélections et non pasJan Ceulemans[7].
À peine les crampons raccrochés, il devient entraîneur duRFC Liège qui évolue en1re division belge. Lors de la première saison, il termine à la12e place du championnat puis à la13e place la saison suivante[8]. Il quitte alors le club pour un autre club belge.
Durant l'été 1994, leLierse offre à Eric Gerets le poste d'entraîneur. Les résultats ne se font pas attendre. Cinquième enchampionnat la première saison, le club se qualifie pour la prochaineCoupe UEFA, après 17 ans sans compétition européenne. Il y est éliminé dès le premier tour par leBenfica Lisbonne. La saison suivante, le club termine à nouveau cinquième, à seulement un point du troisième. Cette fois, il se qualifie pour laCoupe Intertoto, dont il franchit la phase de poules mais s'incline ensuite en demi-finales. Pour sa troisième saison à la tête du club, avec l'objectif avoué de se qualifier à nouveau pour laCoupe UEFA, Eric Gerets reçoit de nombreux renforts : l'ancienOranjeStanley Menzo, l'international polonaisAndrzej Rudy, les défenseursBart De Roover etÉric Van Meir ou le médianPhilip Haagdoren. À côté de ces joueurs confirmés, des jeunes se font également une place dans l'équipe. En fin de saison, avec un noyau dont 14 des 25 joueurs sont issus de son centre de formation, le Lierse décroche à la surprise générale le quatrième titre dechampion de Belgique de son histoire, avec deux points d'avance sur leFC Brugeois[9].
Après ce titre, il quitte le club et prend la tête duFC Bruges avec lequel il remporte le titre deChampion de Belgique 1998 avec une avance énorme de 18 points sur le deuxième[10]. En course pour un nouveau doublé championnat-coupe, le Club reçoit une véritable gifle en s'inclinant (4-0) devantGenk en finale de lacoupe de Belgique auHeysel. Bruges échoue de peu lasaison suivante, seulement devancé parGenk, qui prive les Brugeois d'un trophée pour la deuxième fois en deux ans. Au printemps 1999, des querelles internes parmi les dirigeants du club provoquent le remplacement du présidentFernand De Clerck. Après la dernière journée du championnat, Eric Gerets s'en va poursuivre sa carrière auPSV Eindhoven[11].
De retour dans un club qu'il connaît bien pour avoir porté le maillot duPSV Eindhoven pendant sept saisons, il remporte dès sa première saison lachampionnat 2000 avant de remporter laSupercoupe 2000 contre le vainqueur de lacoupe des Pays-Bas leRoda JC. La saison suivante, il est de nouveau champion des Pays-Bas en faisant une saison presque parfaite avec une seule petite défaite et restant invaincu à domicile en championnat. Il remporte de nouveau laSupercoupe 2001 contre leFC Twente, contre qui ils se sont inclinés en finale de lacoupe des Pays-Bas. La dernière saison, il termine à la seconde place du championnat derrière l’éternel rival de l'Ajax Amsterdam et est remercié par la direction[12].
Il rejoint leFC Kaiserlautern le[13] alors que le club est menacé par la relégation et frise l’insolvabilité. Pourtant le Belge remet l’équipe en selle et assure le maintien grâce à un parcours sensationnel après la trêve hivernale[8]. Parallèlement, le FCK atteint la finale de laCoupe d’Allemagne, mais s’incline 1-3 face auBayern Munich. Durant la saison suivante, le FCK décide à la surprise générale de renvoyer Eric Gerets et son adjoint alors que le club est premier relégable depuis une journée[14].
Gerets prend la succession de Jürgen Röber à la tête duVfL Wolfsburg en[15]. Pour sa première saison sur le banc, il qualifie le club enCoupe Intertoto en terminant à la9e place du championnat mais démissionne tout de même en fin de saison à la suite d'un différend avecThomas Strunz, le directeur sportif du club allemand[16].
Il rejoint le club turc deGalatasaray pour la saison2005-2006. Dès la première saison, il estChampion de Turquie devançant de deux points le club voisin duFenerbahçe[8]. Lasaison suivante, Galatasaray termine à la troisième place du championnat à 14 points du leader et rival, suscitant de vives critiques à l'égard de son entraîneur et Gerets décide de quitter le club[17].
Eric Gerets entraîne l'Olympique de Marseille à compter du, en remplacement d'Albert Emon et après avoir refusé des offres des clubsqatarien d'Al Ittihad etturc deGençlerbirligi. Il arrive à l'OM alors que le club occupe la19e place à la13e journée dechampionnat.
Pour son premier match en tant qu'entraîneur de l'OM, il réussit contre toute attente à s'imposer àAnfield enLigue des champions contre l'équipe deLiverpool (0-1), le, grâce à un but deMathieu Valbuena. Il devient ainsi le premier entraîneur d'une équipe française à réussir cet exploit[18]. Quelques jours plus tard, pour son premier match enLigue 1, il s'incline face à l'AS Saint Etienne (1-0) mais, très vite, l’entraîneur belge va redresser la barre. Malgré une nouvelle défaite àSochaux, où les Marseillais marquent deux buts contre leur camp et donnent la victoire au clubfranc-comtois, une victoire à Lyon (1-2) symbolise le bon travail du Belge et cristallise les espoirs. Son équipe acquiert finalement sa place sur le podium à l'issue de la dernière journée du championnat deLigue 1 2007-2008 et grâce à une victoire épique (4-3) face auRacing Club de Strasbourg, déjà relégué enLigue 2, non sans avoir donné quelques sueurs froides aux travées marseillaises. Cette première saison est couronnée de succès, puisqu'il parvient à redresser l'équipe en prônant un jeu offensif[19] en la remontant de la19e à une3e place inespérée, synonyme de tour préliminaire en Ligue des champions[18].
La saison suivante s'avère encore meilleure, fin mars, l'OM qui pointe en effet à la2e place du classement à un point deLyon, semble enfin en mesure de remporter ce titre national qui lui échappe depuis 1993 et les Phocéens s'apprêtent à défier les Ukrainiens duChakhtar Donetsk en quarts de finale de laCoupe de l'UEFA[18]. En parallèle, toutefois, le torchon brûle entre l’entraîneur belge et l'actionnaire majoritaire du club,Robert Louis-Dreyfus. À l'origine de la discorde, une déclaration de celui-ci faite dansL'Équipe du (« Il ferait mieux de terminer premier ou deuxième, sinon nous aurons un problème. ») que le « Lion de Rekem » prend comme une attaque personnelle[8]. Du coup, Gerets tarde à signer un nouveau contrat malgré le soutien inconditionnel à son égard du public marseillais à qui il offre finalement un titre de vice-champion au terme d'une saison qui aura dû attendre l'ultime journée pour livrer son verdict.
Alors que certaines rumeurs l'envoient auFC Séville[18] ou auZénith Saint-Pétersbourg[20], c'est en définitive pour le clubsaoudienAl Hilal FC que son choix se porte et le, Gerets annonce son départ de l'OM à la fin de la saison.
Le, Eric Gerets reçoit le titre de meilleur entraîneur de Ligue 1 lors de la cérémonie destrophées UNFP 2008-2009.
En 2013, il est approché par leParis Saint-Germain pour remplacerCarlo Ancelotti mais le Limbourgeois refuse l'offre par respect pour « ses » Marseillais[21].
Il entre en fonction à l'Al Hilal le dans un club ambitieux, son propriétaire le prince al-Saud vise en effet lechampionnat national, laLigue des champions d'Asie voire leChampionnat du monde des clubs[20]. Pour sa première saison au club, il remporte leChampionnat d'Arabie saoudite 2009-2010 avec onze points d'avance et atteint les demi-finales de laLigue des champions de l'AFC 2010.
Les rumeurs persistantes faisant état de difficultés financières à la suite du départ dusponsor principal du club, l'opérateur de téléphonie Mobily[20], ont-elles eu une influence sur les choix de Gerets ? Toujours est-il qu'il ne reste pas enArabie saoudite très longtemps et s'engage avec laFédération royale marocaine de football dès la saison suivante.
Après avoir visité « secrètement » les installations duMaroc, l’entraîneur belge confirme le aux journauxHet Laatste Nieuws etDe Morgen qu’il a conclu un accord de quatre ans avec la fédération marocaine[22] alors qu'il était pressenti pour prendre la direction desDiables Rouges.
Gerets qualifie lesLions de l'Atlas pour laCAN 2012 dont ils partent favoris mais un parcours décevant, avec notamment des défaites face à laTunisie (1-2) et auGabon (2-3), condamne le Maroc à l’élimination précoce. Malgré ce revers Eric Gerets est maintenu à la tête de la sélection. Toutefois, après une entame désastreuse des éliminatoires pour laCAN 2013 et laCoupe du monde au Brésil 2014 et vivement contesté par la presse et les supporteurs, il est licencié le par la Fédération marocaine[23].
Alors qu'il est annoncé avec insistance du côté duStandard de Liège, le, il est nommé entraîneur deLekhwiya SC[24], champion duQatar en titre, mais seulement sixième de son championnat après trois journées. Il y remplaceDjamel Belmadi et remporte son dernier titre national, le septième, avec une sixième équipe, dans un cinquième pays.
Le, le clubémirati d'Al-Jazira annonce qu'Eric Gerets est nommé en remplacement deWalter Zenga[25],[26] reportant ainsi de deux ans l'éventualité de terminer sa carrière soit au Standard, soit enéquipe nationale belge ainsi qu'il en a toujours rêvé. En, néanmoins, il confie au cours d'une interview àRMC son intention de mettre un terme à sa carrière à la fin de la saison 2015-2016[27], souhait exaucé avant terme an lorsqu'il est démis de ses fonctions et remplacé parAbel Braga, non sans avoir remporté avec son dernier club un titre de vice-champion[28].
À peine de retour enBelgique, les rumeurs enflent à nouveau quant à voir Gerets entraîner lesRouches ou lesDiables et, si en ce qui concerne l'équipe belge cela en reste à l'état de rumeurs que l'homme dément de manière régulière et constante, le mandat deMarc Wilmots alors sélectionneur n'arrivant d'ailleurs à échéance qu'en 2018, il en va tout autrement pour le Standard dont la direction approche son ancien capitaine fin avec l'espoir de l'engager pour la saison suivante[29]. Le Limbourgeois a toutefois décliné l'offre, ne désirant pas compromettre de manière définitive son état de santé mis à mal par unehémorragie cérébrale encourue en 2012, alors qu'il était actif auQatar, et qui l'a fortement diminué[30],[31].
Il semble désormais définitif que leLion de Rekem n’entraînera plus d'équipes de football[32],[8].
Saison | Club | Championnat | Coupe nationale | Coupe de la Ligue | Supercoupe | Compétition(s) continentale(s) | Autres compétitions | Total | |||||||||||||||||
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Division | M. | B. | P.d. | M. | B. | P.d. | M. | B. | P.d. | M. | B. | P.d. | Comp. | M. | B. | P.d. | Comp. | M. | B. | P.d. | M. | B. | P.d. | ||
1971-1972 | ![]() | Division 1 | 1 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | 1 | 0 | 0 |
1972-1973 | Division 1 | 9 | 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | 11 | 0 | 0 | |
1973-1974 | Division 1 | 30 | 1 | 0 | - | - | - | 2 | 0 | 0 | - | - | - | CI+C3 | 6+6 | 0+0 | 0+0 | - | - | - | - | 44 | 1 | 0 | |
1974-1975 | Division 1 | 37 | 5 | 0 | 3 | 1 | 0 | 2 | 0 | 0 | - | - | - | CI | 1 | 0 | 0 | - | - | - | - | 43 | 6 | 0 | |
1975-1976 | Division 1 | 34 | 6 | 0 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | CI | 1 | 0 | 0 | - | - | - | - | 35 | 6 | 0 | |
1976-1977 | Division 1 | 31 | 1 | 0 | 2 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | CI | 6 | 1 | 0 | - | - | - | - | 39 | 2 | 0 | |
1977-1978 | Division 1 | 25 | 2 | 0 | 3 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | C3 | 6 | 0 | 0 | - | - | - | - | 34 | 2 | 0 | |
1978-1979 | Division 1 | 33 | 4 | 0 | 3 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | C3 | 4 | 0 | 0 | - | - | - | - | 40 | 4 | 0 | |
1979-1980 | Division 1 | 27 | 3 | 0 | 6 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | CI+C3 | 3+6 | 0+0 | 0+0 | - | - | - | - | 42 | 3 | 0 | |
1980-1981 | Division 1 | 29 | 0 | 0 | 6 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | CI+C3 | 3+7 | 0+0 | 0+0 | - | - | - | - | 45 | 0 | 0 | |
1981-1982 | Division 1 | 31 | 3 | 0 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | CI+C2 | 1+9 | 0+0 | 0+0 | - | - | - | - | 41 | 3 | 0 | |
1982-1983 | Division 1 | 33 | 2 | 0 | 3 | 0 | 0 | - | - | - | 1 | 0 | 0 | C1 | 1 | 1 | 0 | - | - | - | - | 38 | 3 | 0 | |
Sous-total | 320 | 27 | 0 | 28 | 1 | 0 | 4 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | - | 60 | 2 | 0 | - | - | - | - | 413 | 30 | 0 | ||
1983-1984 | ![]() | Serie A | 13 | 1 | 2 | 7 | 0 | 1 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | 20 | 1 | 3 |
1984-1985 | ![]() | Eredivisie | 13 | 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | 15 | 0 | 0 |
1985-1986 | ![]() | Eredivisie | 29 | 0 | 7 | 2 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | C3 | 3 | 0 | 0 | - | - | - | - | 34 | 0 | 7 |
1986-1987 | Eredivisie | 30 | 1 | 4 | 3 | 0 | 1 | - | - | - | - | - | - | C1 | 2 | 0 | 0 | - | - | - | - | 35 | 1 | 5 | |
1987-1988 | Eredivisie | 30 | 4 | 7 | 5 | 2 | 1 | - | - | - | - | - | - | C1 | 9 | 0 | 1 | - | - | - | - | 44 | 6 | 9 | |
1988-1989 | Eredivisie | 31 | 1 | 2 | 5 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | C1 | 4 | 0 | 1 | SCU+TOY | 2+1 | 0+0 | 0+0 | 43 | 1 | 3 | |
1989-1990 | Eredivisie | 33 | 1 | 5 | 5 | 0 | 1 | - | - | - | - | - | - | C1 | 6 | 0 | 0 | - | - | - | - | 44 | 1 | 6 | |
1990-1991 | Eredivisie | 24 | 0 | 3 | 3 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | C2 | 1 | 0 | 0 | - | - | - | - | 28 | 0 | 3 | |
1991-1992 | Eredivisie | 23 | 1 | 0 | 1 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | C1 | 3 | 0 | 0 | - | - | - | - | 27 | 1 | 0 | |
Sous-total | 200 | 8 | 28 | 24 | 2 | 3 | - | - | - | - | - | - | - | 28 | 0 | 2 | - | 3 | 0 | 0 | 255 | 10 | 33 | ||
Total sur la carrière | 546 | 36 | 30 | 61 | 3 | 4 | 4 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | - | 88 | 2 | 2 | - | 3 | 0 | 0 | 703 | 41 | 36 |
Saison | Sélection | Phases finales | Éliminatoires CDM | Éliminatoires EURO | Matchs amicaux | Total | |||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Compétition | M | B | Pd | M | B | Pd | M | B | Pd | M | B | Pd | M | B | Pd | ||
1975-1976 | ![]() | - | - | - | - | - | - | - | 2 | 0 | 0 | - | - | - | 2 | 0 | 0 |
1976-1977 | - | - | - | - | 2 | 0 | 0 | - | - | - | 1 | 0 | 0 | 3 | 0 | 0 | |
1977-1978 | - | - | - | - | 2 | 0 | 0 | - | - | - | 2 | 0 | 0 | 4 | 0 | 0 | |
1978-1979 | - | - | - | - | - | - | - | 4 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 5 | 0 | 0 | |
1979-1980 | Euro 1980 | 4 | 1 | 0 | - | - | - | 4 | 0 | 0 | 5 | 0 | 0 | 13 | 1 | 0 | |
1980-1981 | - | - | - | - | 6 | 0 | 0 | - | - | - | - | - | - | 6 | 0 | 0 | |
1981-1982 | Coupe du monde 1982 | 3 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | - | - | - | 4 | 0 | 0 | 8 | 0 | 0 | |
1982-1983 | - | - | - | - | - | - | - | 4 | 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | 6 | 0 | 0 | |
1983-1984 | - | - | - | - | - | - | - | 2 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 3 | 0 | 0 | |
1985-1986 | Coupe du monde 1986 | 6 | 0 | 2 | 3 | 0 | 1 | - | - | - | 3 | 0 | 0 | 12 | 0 | 3 | |
1986-1987 | - | - | - | - | - | - | - | 3 | 1 | 0 | 1 | 0 | 0 | 4 | 1 | 0 | |
1987-1988 | - | - | - | - | - | - | - | 2 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 3 | 0 | 0 | |
1988-1989 | - | - | - | - | 4 | 0 | 1 | - | - | - | 1 | 0 | 0 | 5 | 0 | 1 | |
1989-1990 | Coupe du monde 1990 | 3 | 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | - | - | - | 4 | 0 | 0 | 9 | 0 | 0 | |
1990-1991 | - | - | - | - | - | - | - | 2 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 3 | 0 | 0 | |
Total sur la carrière | 16 | 1 | 2 | 20 | 0 | 2 | 23 | 1 | 0 | 27 | 0 | 0 | 86 | 2 | 4 |
Buts internationaux d'Eric Gerets[2],[1] | |||||||||
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# | Date | Lieu | Adversaire | Résultat | Compétition | Détail | Cape | ||
1 | Stadio Giuseppe Meazza,Milan,Italie | ![]() | V 2 - 1 | Euro 1980 | ![]() | du pied droit | 1-0 | 25e | |
2 | Stade Municipal,Luxembourg,Luxembourg | ![]() | V 6 - 0 | Éliminatoires de l'Euro 1988 | ![]() | du pied gauche | 1-0 | 63e |
Saison | Club | Championnat | Coupe(s) nationale(s) | Supercoupe | Compétition(s) continentale(s) | Total | % Victoires | |||||||||||||||||
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Division | M | V | N | D | M | V | N | D | M | V | N | D | Comp. | M | V | N | D | M | V | N | D | |||
1992-1993 | ![]() | Division 1 | 34 | 10 | 8 | 16 | 2 | 1 | 0 | 1 | - | - | 36 | 11 | 8 | 17 | 31% | |||||||
1993-1994 | Division 1 | 34 | 9 | 11 | 14 | 1 | 0 | 0 | 1 | - | - | 35 | 9 | 11 | 15 | 26% | ||||||||
Sous-total | 68 | 19 | 19 | 30 | 3 | 1 | 0 | 2 | - | - | 71 | 20 | 19 | 32 | 28% | |||||||||
1994-1995 | ![]() | Division 1 | 34 | 14 | 9 | 11 | 1 | 0 | 0 | 1 | - | - | 35 | 14 | 9 | 12 | 40% | |||||||
1995-1996 | Division 1 | 34 | 14 | 10 | 10 | 1 | 0 | 0 | 1 | - | C3 | 2 | 0 | 0 | 2 | 37 | 14 | 10 | 13 | 38% | ||||
1996-1997 | Division 1 | 34 | 21 | 10 | 3 | 3 | 2 | 0 | 1 | - | CI | 6 | 3 | 0 | 3 | 43 | 26 | 10 | 7 | 60% | ||||
Sous-total | 102 | 49 | 29 | 24 | 5 | 2 | 0 | 3 | - | - | 8 | 3 | 0 | 5 | 115 | 54 | 29 | 32 | 47% | |||||
1997-1998 | ![]() | Division 1 | 34 | 26 | 6 | 2 | 6 | 4 | 1 | 1 | - | C3 | 6 | 4 | 0 | 2 | 46 | 34 | 7 | 5 | 74% | |||
1998-1999 | Division 1 | 34 | 22 | 5 | 7 | 1 | 0 | 0 | 1 | 1 | 1 | 0 | 0 | C1+C3 | 4+6 | 2+2 | 1+2 | 1+2 | 46 | 27 | 8 | 11 | 59% | |
Sous-total | 68 | 48 | 11 | 9 | 7 | 4 | 1 | 2 | 1 | 1 | 0 | 0 | - | 16 | 8 | 3 | 5 | 92 | 61 | 15 | 16 | 66% | ||
1999-2000 | ![]() | Eredivisie | 34 | 27 | 3 | 4 | 1 | 0 | 0 | 1 | - | C1 | 8 | 2 | 2 | 4 | 43 | 29 | 5 | 9 | 67% | |||
2000-2001 | Eredivisie | 34 | 25 | 8 | 1 | 4 | 3 | 0 | 1 | 1 | 1 | 0 | 0 | C1+C3 | 6+6 | 3+3 | 0+0 | 3+3 | 51 | 35 | 8 | 8 | 69% | |
2001-2002 | Eredivisie | 34 | 20 | 8 | 6 | 3 | 2 | 0 | 1 | 1 | 1 | 0 | 0 | C1+C3 | 6+6 | 2+2 | 1+2 | 3+2 | 50 | 27 | 11 | 12 | 54% | |
Sous-total | 102 | 72 | 19 | 11 | 8 | 5 | 0 | 3 | 2 | 2 | 0 | 0 | - | 32 | 12 | 5 | 15 | 144 | 91 | 24 | 29 | 63% | ||
2002-2003 | ![]() | 1. Bundesliga | 31 | 10 | 9 | 12 | 5 | 4 | 0 | 1 | - | - | 36 | 14 | 9 | 13 | 39% | |||||||
2003-2004 | 1. Bundesliga | 18 | 5 | 3 | 10 | 1 | 0 | 0 | 1 | - | C3 | 2 | 0 | 0 | 2 | 21 | 5 | 3 | 13 | 24% | ||||
Sous-total | 49 | 15 | 12 | 22 | 6 | 4 | 0 | 2 | - | - | 2 | 0 | 0 | 2 | 57 | 19 | 12 | 26 | 33% | |||||
2003-2004 | ![]() | 1. Bundesliga | 7 | 3 | 2 | 2 | - | - | - | 7 | 3 | 2 | 2 | 43% | ||||||||||
2004-2005 | 1. Bundesliga | 34 | 15 | 3 | 16 | 1 | 0 | 0 | 1 | - | CI | 2 | 0 | 0 | 2 | 37 | 15 | 3 | 19 | 41% | ||||
Sous-total | 41 | 18 | 5 | 18 | 1 | 0 | 0 | 1 | - | - | 2 | 0 | 0 | 2 | 44 | 18 | 5 | 21 | 41% | |||||
2005-2006 | ![]() | Süper Lig | 34 | 26 | 5 | 3 | 6 | 4 | 1 | 1 | - | C3 | 2 | 0 | 1 | 1 | 42 | 30 | 7 | 5 | 71% | |||
2006-2007 | Süper Lig | 34 | 15 | 11 | 8 | 6 | 3 | 2 | 1 | 1 | 0 | 0 | 1 | C1 | 8 | 1 | 2 | 5 | 49 | 19 | 15 | 15 | 39% | |
Sous-total | 68 | 41 | 16 | 11 | 12 | 7 | 3 | 2 | 1 | 0 | 0 | 1 | - | 10 | 1 | 3 | 6 | 91 | 49 | 22 | 20 | 54% | ||
2007-2008 | ![]() | Ligue 1 | 29 | 16 | 7 | 6 | 3+2 | 2+1 | 0+0 | 1+1 | - | C1+C3 | 5+4 | 1+2 | 1+0 | 3+2 | 43 | 22 | 8 | 13 | 51% | |||
2008-2009 | Ligue 1 | 38 | 22 | 11 | 5 | 2+1 | 1+0 | 0+0 | 1+1 | - | C1+C3 | 8+6 | 3+2 | 1+1 | 4+3 | 55 | 28 | 13 | 14 | 51% | ||||
Sous-total | 67 | 38 | 18 | 11 | 8 | 4 | 0 | 4 | - | - | 23 | 8 | 3 | 12 | 98 | 50 | 21 | 27 | 51% | |||||
2009-2010 | ![]() | Saudi Pro League | 22 | 18 | 2 | 2 | 4+5 | 4+3 | 0+2 | 0+0 | - | ACL | 11 | 5 | 2 | 4 | 42 | 30 | 6 | 6 | 71% | |||
2010-2011 | Saudi Pro League | 10 | 7 | 3 | 0 | - | - | - | 10 | 7 | 3 | 0 | 70% | |||||||||||
Sous-total | 32 | 25 | 5 | 2 | 9 | 7 | 2 | 0 | - | - | 11 | 5 | 2 | 4 | 52 | 37 | 9 | 6 | 71% | |||||
2012-2013 | ![]() | QSL | 22 | 14 | 4 | 4 | 2+2+6+3 | 2+1+4+0 | 0+0+0+1 | 0+1+2+2 | - | ACL | 10 | 4 | 3 | 3 | 45 | 25 | 8 | 12 | 56% | |||
2013-2014 | QSL | 26 | 16 | 5 | 5 | 2+1+3+3 | 0+0+1+2 | 2+0+0+0 | 0+1+2+1 | - | ACL | 8 | 4 | 1 | 3 | 43 | 23 | 8 | 12 | 53% | ||||
Sous-total | 48 | 30 | 9 | 9 | 22 | 10 | 3 | 9 | - | - | 18 | 8 | 4 | 6 | 88 | 48 | 16 | 24 | 55% | |||||
2014-2015 | ![]() | UAE Pro League | 26 | 16 | 3 | 7 | 6+1 | 2+0 | 0+0 | 4+1 | - | ACL | 1 | 0 | 0 | 1 | 34 | 18 | 3 | 13 | 53% | |||
Total sur la carrière | 671 | 371 | 146 | 154 | 88 | 46 | 9 | 33 | 4 | 3 | 0 | 1 | - | 123 | 45 | 20 | 58 | 886 | 465 | 175 | 246 | 52% |
Saison | Sélection | Campagne | Phases finales | Éliminatoires | Matchs amicaux | Total | % Victoires | ||||||||||||
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M | V | N | D | M | V | N | D | M | V | N | D | M | V | N | D | ||||
2010-2011 | ![]() | CAN 2012 | - | 4 | 2 | 1 | 1 | 4 | 2 | 2 | 0 | 8 | 4 | 3 | 1 | 50% | |||
2011-2012 | 3 | 1 | 0 | 2 | 2 | 1 | 1 | 0 | 3 | 1 | 1 | 1 | 8 | 3 | 2 | 3 | 38% | ||
Coupe du monde 2014 | - | 2 | 0 | 2 | 0 | 2 | 1 | 0 | 1 | 4 | 1 | 2 | 1 | 25% | |||||
Coupe arabe 2012 | 5 | 3 | 2 | 0 | - | 1 | 1 | 0 | 0 | 6 | 4 | 2 | 0 | 67% | |||||
2012-2013 | CAN 2013 | - | 1 | 0 | 0 | 1 | 1 | 0 | 0 | 1 | 2 | 0 | 0 | 2 | 0% | ||||
Total sur la carrière | 8 | 4 | 2 | 2 | 9 | 3 | 4 | 2 | 11 | 5 | 3 | 3 | 28 | 12 | 9 | 7 | 43% |
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Le, Eric Gerets épouse Virginie Neuray, l'ex-compagne de son ancien coéquipierGilbert Bodart, dans sa propriété deMaasmechelen en toute intimité[36],[37],[38].
Le Belge a participé à l'émission30 millions d'amis pour présenter « sa relation » avec son chien devenu célèbre, Georges[39].
Son fils, Johan Gerets[40], a également été footballeur professionnel. Après avoir evolué, entre autres, auFCV Dender EH enJupiler Pro League (Division 1 belge) et auRCS Visé enExqi League (Division 2 belge), il est aujourd'hui, lui aussi, retraité.
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Entre parenthèses, le nombre de trophées remportés par l'entraîneur. |
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